Le site canadien Psychomédia publie un nouvel article “test” ! 😏
Ce n’est pas une première, il avait déjà mis en ligne : “Pourriez-vous être un adulte atteint du syndrome d’Asperger ?“, il y a presque 2 ans 😐
Nouvel article de ce genre donc…
Avec ce test en ligne, inspiré du très célèbre AQ test élaboré par le psychologue spécialiste Simon Baron-Cohen : “Avez-vous des traits autistiques ?“
Ce test, le Quotient du spectre de l’autisme chez l’adulte, a été publié par le psychologue britannique Simon Baron-Cohen et ses collègues en 2001 (1). Il vise à évaluer les traits autistiques chez des personnes d’intelligence moyenne ou supérieure.
Les auteurs font l’hypothèse que les traits autistiques existent le long d’un continuum, c’est-à-dire à divers degrés dans la population générale, les personnes atteintes d’un trouble du spectre de l’autisme, dont le syndrome d’Asperger (appelé autisme à haut fonctionnement), se situant à une extrémité du continuum.
Le test mesure cinq domaines dans lesquels des traits autistiques peuvent s’exprimer.
Veuillez noter que ce test n’a pas été conçu comme outil de diagnostic. Si les résultats suggèrent la présence possible d’autisme (ou de syndrome d’Asperger), une évaluation supplémentaire permettrait de déterminer si les critères diagnostiques sont rencontrés.
POUR FAIRE le TEST c’est ici ❗
Avec toutefois (ouf !) une précision lorsqu’on ouvre la page du test ⤵
Veuillez noter que ce test n’a pas été conçu comme outil de diagnostic. Si les résultats suggèrent la présence possible d’autisme (ou de syndrome d’Asperger), une évaluation supplémentaire permettrait de déterminer si les critères diagnostiques sont rencontrés.
Oui hein… une évaluation supplémentaire est nécessaire, je vous le confirme 😉
Si le bilan diagnostique pour le syndrome d’Asperger tenait en un quiz, il serait bien moins complexe d’identifier ce TSA… 😆
Car si le véritable test de Baron-Cohen, “Autism Spectrum Quotient (AQ)” est utilisé par les équipes des CRA pour identifier le SA, il est l’un des très nombreux autres éléments, & donc ne suffit pas à tirer des conclusions, sur sa seule base, pour auto-établir un diagnostic. Voyez ce billet pour tout connaître les deux voies diagnostiques en France
Voilà ce que j’écrivais à l’époque dans le billet cité plus haut ⤵
Mis au point par le psychologue Simon Baron-Cohen, l’Autism spectrum Quotient est lui un test diagnostic réellement utilisé en CRA lors des bilans (parmi une foultitude d’autres tests, échelles & questionnaires ! Je précise bilan diagnostique auprès d’une unité spécialisée en France s’étale généralement sur une journée & ½, voire 2 journées complètes ; il ne se résume par conséquent absolument pas à l’AQ test !!! ).
Voici les indications données sur mon propre bilan, avec un score personnel de 46 👇🏻
Valeur seuil > 32 patients SA
Normale féminin comprise entre 11 & 23
Et mon résultat du test en ligne fait ce matin 09 novembre 2015, plutôt très proche de mon résultat en CRA, puisque j’obtiens 47 (contre 46 avec l’équipe qui m’a reçue en diagnostic il y a quelques années) :
Qu’en penser donc ❓
Eh bien je dirais que, comme tous les tests de ce genre, cela peut donner une piste à explorer, mais ne constitue pas un diagnostic
Après l’auto-diagnostic (qui intervient forcément à un moment donné chez l’adulte en questionnement !), seul un véritable bilan complet, réalisé par une équipe pluridisciplinaire pourra permettre de valider, ou d’invalider cette suspicion de spectre autistique.
à voir en lien avec le diagnostic chez l’adulte : “[VIDÉO du Blog] Le diagnostic du syndrome d’Asperger à l’âge adulte, & en particulier celui des femmes“
Suite de mon résultat en ligne :
Pour retrouver les différents tests…
- Ceux validés & élaborés par des spécialistes :
– l’AQ test de Simon Baron-Cohen
– le RMET test de Simon Baron-Cohen
– le RAADS-14 Screen test de Susanne Bejerot - Ceux non-validés (qui n’ont donc aucune valeur pronostique) :
– l’Aspie Quiz de Leif Ekblad
quelques billets complémentaires du blog, pour mieux comprendre ce qu’est (ou n’est pas) le syndrome d’Asperger :
- Shutdown & meltdown autistiques, quand le besoin de repli sur soi se fait pressant
- Avant, j’étais là ! Le syndrome d’Asperger faisait déjà partie de moi
- [VIDÉO] Syndrome d’Asperger, le diagnostic
- Chacun fait, fait, fait … c’qu’il lui plaît, plaît, plaît !
- Rencontre avec Alexandra Reynaud, “Asperger et fière de l’être. Voyage au cœur d’un autisme pas comme les autres” (Radio Notre Dame, avril 2017)
- Peut-on être à la fois surdoué & touché par le syndrome d’Asperger ?
- Dis-moi de quelle couleur tu es, je te dirai si tu es aspie…
- Petites & grandes obsessions d’une Aspergirl
- [TEST] Pourriez-vous être un adulte atteint du syndrome d’Asperger ?
- [VIDÉO] L’autisme disparaît-il en vieillissant ?
✏ Et pour aller au-delà du blog, je suis l’auteure de trois ouvrages parus aux éditions Eyrolles :
– “Asperger & fière de l’être. Voyage au cœur d’un autisme pas comme les autres“. Un regard unique en France sur le combo syndrome d’Asperger / haut potentiel intellectuel, paru en 2017 ; préfacé par le Dr Laurie-Anne Sapey-Triomphe & postfacé par le Pr Laurent Mottron ❤
– “Les Tribulations d’un petit zèbre. Épisodes de vie d’une famille à haut potentiel intellectuel” paru en juillet 2016, préfacé par Arielle Adda & le Dr Gabriel Wahl :-D
– “L’Enfant atypique. Hyperactif, haut potentiel, Dys, Asperger… faire de sa différence une force“, un livre-outil paru en 2018 dans la collection très particulière (& en quadrichromie ) “Parents au top” :smile:
Cliquez pour ouvrir Cliquez pour ouvrir
Un résultat de 32 ou plus indique une forte probabilité d’avoir des traits autistiques à un niveau cliniquement significatif.
Ce n’est pas la première fois que je passe ce genre de tests concernant les troubles de la personnalité, j’ai l’impression même que c’est un TOC… Je n’ai pas réussi à assurer une communication téléphonique aujourd’hui, ça m’angoisses, et donc je me retrouve ici sans intentions conscientes préalables…Quelques aspects de ma personnalité présenterait donc des “trait autistiques” si j’ai bien compris. D’après toi, à quoi cela peut-il me servir de le savoir? Merci pour ta réponse.
Est-ce également le cas ici, et quelles sont les conséquences sur les résultats ? Je veux dire par là : le statut hormonal à l’âge prénatal, infantile et adulte a-t-il une influence sur ce type de fonctionnement du cerveau (et si c’est encore valable à l’âge adulte, doit-on noter son sexe hormonal) ?
Exemple :
Je suis un homme transgenre, de sexe génétique féminin, génital visible et invisible féminin, hormonal masculin entre 2014 et 2016 et féminin le reste du temps, y compris actuellement, et cérébral masculin, avec quelques traits traditionnellement féminins (j’ai du mal avec la notion traditionnelle de sexe, type pacifisme, amour de la chasse, de la mode, du sexe opposé etc… mais autant le noter.)
Je suis de sexe masculin à l’état-civil depuis 2015.
Quel sexe dois-je inscrire pour le test ?
Merci.
Je pense que le sexe et l’âge ne servent qu’à établir des statistiques et ne sont pas pris en compte dans les résultats individuels.
Je suis étudiante en psychologie et le débat (notamment et surtout en statistiques) de la différence entre genre et sexe est quelque chose qui revient parfois.
Ce qu’on nous dit:
– le sexe détermine l’aspect biologique.
– le genre l’identité (construction sociale entre autres).
Ceci étant je ne suis pas experte, d’autant que c’est une question épineuse, car le sexe a bien un impact sur la façon de fonctionner. Il existe des différences d’un point de vue pathologogique etc au niveau du sexe donc biologique. Sans aller chercher très loin, exemple: pathologies génétiques, avec les histoires de chromosomes XX et XY. La construction du cerveau (neurosciences) a quelques toutes petites différences. Par exemple, la seule différence existante entre hommes et femmes (sexe) qui est significative est la perception/ géométrie de l’espace. Les hommes (sexe mais aussi genre) sont meilleurs sur des épreuves visuo-spatiales et manipulation mentale d’objets que les femmes.
Ceci étant, comme je disais, c’est épineux car la construction sociale dépend de bases neurobiologiques mais aussi de l’environnement, et du développement de l’individu…. qui peuvent influencer sur l’aspect neurobiologique également au point d’en modifier certains aspects!
Si j’étais transgenre FTM, je répondrais mon sexe biologique femme, dans le doute!
(Et si quelqu’un a d’autres infos sur ça, je suis curieuse de les lire!)
Par exemple si tu prend le cerveau zèbre, ça n’a rien à voir avec le cerveau des lambdas.
Par exemple le zèbre homme peut être concentré sur deux choses à la fois, comme les femmes.
Je pense, d’après mes observations, que la femme zèbre a elle aussi de super repères dans l’espace.
Le zèbre a également plus de testostérone que les autres, car la testostérone joue également un rôle dans l’efficacité du cerveau, en plus de la construction différente du cerveau zèbre, notamment dans la zone liée aux émotions.
Tape sur internet : “la neurobiologie des HPI – over the 130”
Et c’est pour cela que le zèbre a la voix plus grave, une grande pilosité, une libido élevé, et un sentiment de domination et de détermination de vaincre face aux injustices, si on porte atteinte à ta liberté ou qu’on touche à tes proches. C’est également la testostérone qui fait ça.
Concernant les psychopathes, il s’agit là d’une 3ème race de cerveau, en voie de disparition.
Ps : je suis aussi un zèbre qui commence bientôt des études en psy
Puis la question sur le jeu de rôle avec les enfants ? WTF ? Je suis déjà très mal a l’aise avec des adultes, a moins que ceux ci aient un vrai sujet de discussion (science, jeux video, figurines de wargame), pas les conneries habituelles. Puis pour un adulte mâle, jouer avec un enfant c’est plutôt mal vu, du coup cette question est mal venue.
Je me suis toujours senti extrêmement mal en société, mal adroit (depuis, je me tais) et je limite au maximum (c’est a dire zéro) mes interactions sociales. L’idée seule d’aller dans la rue me donne des crises d’angoisse.
J’ai obtenu un résultat de 37 sur 50 (plus précisément : 10,8,9,9, et 1. Je me pose des questions dont l’imagination est “analysée”, je suis la plupart du temps classé dans la catégorie “rêveur” ou “avec une grande imagination” même quand j’étais plus jeune (ou même maintenant)donc obtenir 1 est plutôt étrange mais bon, ok.
Je me demande actuellement si j’ai ce syndrome ou si c’est juste mon esprit qui me fait tourner en bourique. Je me suis reconnu assez souvent dans les témoignages ou la plupart des définitions qu’on en fait. J’ai 16 ans donc je suppose que c’est normal de ce questionner sur son “soi”.
J’explique tout dans ce billet https://les-tribulations-dune-aspergirl.com/2017/08/02/comment-obtenir-un-diagnostic-de-syndrome-dasperger-en-france/
Alexandra
Je pense de plus en plus à aller en CRA pour avoir un avis professionnel sur les doutes que j’ai sérieusement depuis six mois. Est-ce qu’il y a un article parlant de comment ça se passe sur ton blog, ou est-ce que tu pourrais m’en parler un peu ?
Par là : https://les-tribulations-dune-aspergirl.com/2017/08/02/comment-obtenir-un-diagnostic-de-syndrome-dasperger-en-france/
Alexandra
J’ai eu un score de 40 sur 50. J’ai été diagnostiquée HP en octobre, soit à 4 mois de mes 20 ans. Je sais que beaucoup de HP ont des traits communs avec les Asperger, voire ont le syndrome. Ce score est-il dû à mon “haut potentiel potentiel” (je ne me fais toujours pas à cette expression !) ou au syndrome d’Asperger ? Je suis suivie au cabinet Bak à Lyon. Est-il possible que mon psychologue n’ait pas remarqué ces nombreuses caractéristiques chez moi, ou qu’il les ait attribué à raison au HP ?…
Je ne veux pas lui en parler sans avoir de solides arguments, parce que je pourrais avoir l’air de remettre en cause ses capacités (alors que pas du tout !)… Bref, un avis extérieur me permettrait d’y voir plus clair dans un premier temps
Je découvre l’autisme car je travail depuis peut dans un ESAT et j’ai donc l’occasion d’en apprendre plus sur l’autisme.
Plus j’en apprends et plus je m’y retrouve à un niveau plus ou moins marqué.
J’ai fait le test et j’ai eu 37/50. Ce qui veut dire que je pourrais avoir des traits autistiques ?
Que puis je faire ?
En vous remerciant.
j’ai fait le test pour mon mari et j’ai obtenu 39. Suite à une discussion avec une cousine dont son fils est asperger sur le comportement bizarre de mon mari, c’est elle qui m’a mis sur la piste d’Asperger. Il a également des problèmes de toxicologie mais il refuse de se faire soigner car la thérapie comporte un suivi psy. J’ai alors 2 questions :
– le test fonctionne -t-il si on le fait pour une tierse personne?
– comment le convaincre de voire un psy pour un dépistage ?
J’ai des grandes facilités a cerner les gens, a comprendre ce qu’ils pensent, lire les émotions, ce qui m’a valu pas mal de déboires (insister quand une personne me dit que tout va bien alors que je vois que non etc…je vois quand une personne s’ennuie ou ne dit pas la vérité et c’est frustrant car si je ne dit rien je me sent vexé et trahi, et si j’en parle la personne en face peut se sentir mal a l’aise…)
Pour les objets c’est pareil j’arrive facilement a comprendre comment fonctionne un objet, ça m’intéresse, connaitre les méchanismes, démonter l’objet dans ma tête…
J’ai du mal a ne faire qu’une chose a la fois, ou alors seulement cette chose existe et j’oublie tout ce qu’il y’a autour.
Je suis très curieux et j’aime savoir comment une chose fonctionne et ça m’agace de voir que les autres s’en foutent et ne s’intéressent a rien.
ça a l’air plutôt cool mais ça créé un véritable décalage avec les autres, j’ai l’impression d’être seul, de ne pas pouvoir parler avec les autres, je trouve les gens inintéressants et je met souvent de la distance car je n’arrive pas a “descendre d’un cran”, a débrancher mon cerveau.
Je déteste les sorties (“faire la fête”) je m’y sens mal a l’aise, sortir dans la rue sans raison pareil, être dans un magasin j’ai parfois la sensation d’étouffer, que les néons m’éblouissent. Et ce qui est paradoxal c’est bien que ce soit dur d’aller vers les gens, j’ai une grande aisance et communiquer, a faire semblant de m’adapter aux autres car je sais ce qu’ils attendent, quel comportement adopter, même si je trouve ça vraiment agaçant et j’ai du mal a y prendre du plaisir.
Le sentiment prédominant est que j’ai l’impression (la certitude…) de ne pas être compris.
Je souffre également d’une hypersensibilité, je pense a cause d’une trop grande empathie, je me projette dans le corps d’un autre pour ressentir mais moi je n’arrive souvent pas a exprimer ces émotions, c’est dur a expliquer, c’est comme si je me retenais de ressentir alors qu’intérieurement j’ai l’impression de toute ressentir puissance 1000.
je peux avoir des larmes qui me viennent devant un dessin animé…et ne rien ressentir quand dans une série (prenons Dexter par exemple) on voit quelqu’un dépecer un autre…
Je suis franchement paumé car je n’ai pas du tout un comportement de psychopathe, je ne me sers pas des gens pour arriver a mes fins, mais je ne corresponds également pas a l’autisme car je sais quoi faire pour qu’une relation marche, je comprends les règles sociales, même si j’ai du mal a m’y adapter.
J’aime que les choses soient prévues, et ne pas déroger a un programme (c’est même un besoin).
J’ai certain traits de l’autisme et pourtant j’ai l’impression de ne pas l’être. (je me trompe peut être)
Bref, je ne cherche pas spécialement une case dans laquelle rentrer mais ça me rassurerait et je me sentirai moins seul si je savais que d’autres vivaient la même chose que moi…
Pour info: un psychopathe d’un point de vue clinique, diagnostiqué, et les “psychopathes” dans les fictions, ne ressent pas d’empathie. D’un point de vueneurobiologique, un psychopathe s’identifie par des dysfonctionnement au niveau des aires cérébrales impliquées dans le circuit émotionnel, notamment amygdale (il en a une plus petite que la norme, de mémoire) et hyppocampe!
Quelqu’un qui est hypersensible peut difficilement manquer d’empathie. La sensation d’être “faux” de s’adapter etc, c’est plus lié au “faux self”!
je me pose des questions depuis quelques temps, car je traverse une crise existentielle que je ne maîtrise plus, où j’ai l’impression de me retrouver 20 ans en arrière, avant de rencontrer ma femme (pour bien être compris, c’est le seul élément stable dans ma vie aujourd’hui, et heureusement !!!, mais elle traverse la même crise)
Les causes de cette crise auraient évidemment un autre jour si cela s’avérait être le cas. Mais serais-je mieux compris (et me comprendais-je mieux moi-même) si cet ‘auto-diagnostic’ se révélait exact? Et de toute façon, cela est bien long…
Voilà, je suis vraiment perdu (mais pas en dépression, pas encore du moins)
Je pense que certaines personnes de mon entourage ont fait ce même constat, y compris au boulot. Je ne sais pas trop quoi faire…
Faut t-il que je consulte un psychologue? Que je me fasse diagnostiquer? J’ai peur que cela ne créer plus de problèmes qu’en résoudre… Médicaments, arrêts de travail, perte d’emploi, regard des autres, dépression etc…
Echec professionnel malgré une superbe réussite scolaire. Echec cuisant dans mes études supérieures. Grandes difficultés relationnelles. Sentiment de solitude, d’ennui dans certaine situation sociale, d’anxiété et d’incapacité interactionnelle dans un contexte de communication avec autrui. Je ne parle même pas de ma vie sentimentale qui s’approche du néant.
On m’a souvent posé des diagnostics tous plus ubuesques les uns que les autres par ce que je présente quelques caractéristiques, symptômes, pouvant s’apparenter à telle ou telle pathologie, car cela y ressemble, pas tout à fait mais presque… dépression, anxiété, bipolarité, trouble de la personnalité limite… Bref, tout pour remonter le moral et arriver à s’accepter (ironie bien entendu).
Aujourd’hui j’en arrive à un point de lassitude, j’ai envie de vivre paisiblement et on plus de survivre dans une société que je ressens hostile.
J’ai obtenu un score de 36 avec ce fameux test.
Je suis fatiguée de devoir trouver des subterfuges pour pouvoir m’adapter aux autres, à la société…. J’espère juste trouver un thérapeute qui sera assez ouvert d’esprit pour envisager ce potentiel diagnostique.