Hier, 04 février 2014, Diane Lhéritier interviewait dans le cadre de son émission L’info dans le bon sens Marie Mesnard, maman de Gabriel, un petit garçon de 8 ans & touché par le syndrome d’Asperger
Son trouble du spectre autistique a été mis en évidence l’an passé, après 2 années perdues à consulter une psychanalyste manifestement bien larguée…
Le témoignage de cette mère est extrêmement intéressant, à bien des égards
Tout ce qu’elle dit sur les ressemblances ou les confusions entre le syndrome d’Asperger & le haut potentiel intellectuel strict &/ou le TDA / TDA-H parlera sans doute à beaucoup… Mais ce qu’elle explique sur les difficultés sensorielles rencontrées par son asperkid est tellement juste, tellement réel (& souvent ignoré des personnes NeuroTypiques) que cela mérite vraiment d’être écouté avec attention !
Voici l’interview diffusée sur la radio RCF :
Et ici un article paru il y a un peu plus d’1 an, en janvier 2013, dans le Nordéclair :
Gabriel, 7 ans, est atteint du syndrome d’Asperger. Pour aller mieux il a besoin d’être très entouré. Ses parents lancent un appel pour trouver des bénévoles disposés… à jouer avec lui.
Gabriel a 7 ans et demi, il est l’aîné d’une fratrie de quatre enfants. A priori rien ne le distingue des autres bambins de son âge.
Il rit, il joue, il entretient la conversation. Il est même très intelligent ; quand ses copains se passionnent pour les cartes Pokemon, lui s’intéresse avant tout à l’Antiquité et à l’Égypte ancienne. Il sait tout ou presque sur Toutankhamon, son pharaon favori. « Je l’aime beaucoup, je connais pleins de choses sur lui », glisse-t-il le plus sérieusement du monde.
Le petit garçon enchaîne la conversation en confiant qu’il aime aussi très fort ses bénévoles. Des bénévoles ? Oui, Gabriel n’est pas un enfant tout à fait comme les autres, il a besoin d’être très entouré. Il est atteint du syndrome d’Asperger, une forme d’autisme qui se manifeste par une grande vivacité d’esprit couplée à des difficultés à communiquer et à interagir avec les autres (voir ci-dessous). Le diagnostic a été posé l’an dernier après des années de questionnements et de doutes.
Depuis septembre Gabriel est scolarisé à domicile. La vie à l’école était devenue trop compliquée à gérer. « En CP la maîtresse s’arrachait les cheveux, nous aussi. Gabriel est très angoissé, il a peur du changement, il peut être très violent. Il est aussi très sensible. Une salle de classe pour lui c’est une horreur » explique Marie Mesnard, sa maman.
POUR lire l’ARTICLE en INTÉGRALITÉ c’est ici !
Oui je sais tout cela ! C’est précisément le sujet de ce blog
Non il ‘en est pas question dans l’article du Nordéclair, mais plus haut -> dans l’interview (radio !) diffusée hier sur RCF
Pour écouter la séquence audio, il faut déclencher le lecteur cliquable inséré dans mon billet, avant la partie qui évoque l’article remontant à 1 an dans le quotidien…
Très beau témoignage avec un parcourt que la plupart des parents vivent ou on vécu…MAIS, je ne suis pas d’accord sur certains points ou plutôt, j’aurai aimé une nuance. Car l’autisme de votre fils, le syndrome d’Asperger, est quand même bien à part !!! La grande différence, c’est leur niveau intellectuelle !!! Une fois leurs “peurs”, leurs stéréotypies (certains) etc… maîtrisées, ils peuvent avoir une vie pratiquement normale !!! C’est d’ailleurs pourquoi, beaucoup d’adultes qui sont parmi nous, sont des aspis qui s’ignorent…Ils ont une vie professionnelle, une famille, des enfants…Beaucoup d’autistes ont une déficience intellectuelle, alors même après une bonne prise en charge, l’école est difficile pour eux, certaines méthodes aussi !!! D’ailleurs la méthode dont vous parlez est-elle adaptée et donne t-elle des résultats pour un enfant autiste avec déficience intellectuelle ???
Louise
Le syndrôme d’asperger est un aautisme de haut niveau qui se différencie de l’autisme que l’on a l’habitude de voir par le fait que ces individus ne sont pas déficients mentaux. Soit , ils sont dans la moyenne du Qi. Soit, ils sont au-dessus ☺
La rédactrice de cet article parle de ce type d’autisme.
Bonne soirée
Je pense que le souci venait du fait qu’il s’agissait d’un podcast en ligne, ayant semble-t-il été limité (probablement pour faire de la place pour d’autres émissions sur le site de RCF) !?
Je viens de poster le fichier intégral. Il est accessible en lecture ds le billet
Alexandra
Sauriez-vous me dire quels sont les symptômes de votre fille? Depuis 1an, avez-vous eu du nouveau ?
Comme ils ont le même âge, il sera peut-être plus facile de comparer…
Mon fils a beaucoup de symptômes, j’ai l’impression qu’on tourne autour du pot, et qu’on cherche le problème au mauvais endroit.
Dans l’émission la maman parle surtout des confusions HPI / Asperger qui amène des erreurs de diagnostic plutôt que des différences HPI/AS/TDAH. A moins qu’il n’en manque un bout ?
En tous cas, bravo pour ce blog mais aussi pour les tribulations d’un petit zèbre, cela fait un moment que je m’y balade et que je le recommande car on y trouve beaucoup d’informations de qualité.
Continuez comme ça et merci !
Merci pour la retransmission de l’interview.
Mon fils 6 ans est détecté précoce à ses 5 ans et demi (suite à diverses crises de maniaqueries). Il a eu des TOCS, qui se sont estompés + ou -, et il en a un nouveau depuis 1 mois (c’est le renversement de tête en arrière comme si qqch le gênait à la nuque, qui fait un peu “autiste”, et je ne sais pas s’il l’est) du coup je suis tombé sur votre site, et le témoignage de la maman de Gabriel est très émouvant, surtout à la fin (car je suis moi-même croyante) qd elle dit avoir reçu le texte “celui qui accueille en mon nom un enfant comme celui-là, c’est moi qu’il accueille”. Etant enceinte de 6 mois, je en sais pas si c’est les hormones, en tt cas je n’ai pu retenir mes larmes tellement ça me parle…on vit des moments merveilleux avec notre fils qui se comporte “différemment” mais aussi des moments très durs car ses réactions sont forcément perturbant pr le parent “normo-pensant” que je suis, et on est pris de doutes. Mais cette parole de l’évangile, me renforce. Merci à vous, Cdt.
En tant qu’ Asperger et HPI en même temps, je souhaiterais témoigner parce que ça fait du bien d’en parler et ici je sais que je ne suis pas seule.
La peur du changement, les angoisses lié au transport etc… je connais que trop bien parce qu’il m’a fallu des années avant de pouvoir prendre le bus toute seule, prendre le train toute seule, bref voyager seule et j’ai 25 ans ! j’aimerais pouvoir vivre sans ces angoisses mais elles sont là et m’empêche d efaire certaines encore certaines choses. ce n’est pas de ma faute mais j’essaie vraiment de passer outre, de les surmontées. C’est très dur.
Et puis il y a les relations sociales où c’est parfois compliquer même si globalement je me suis “adaptée” au monde qui m’entoure. Pas le choix me direz-vous.
Je suis HPI profil laminaire doublé du syndrôme d’asperger (mon père est Asperger non détecté).
Au jour d’aujourd’hui j’essaie de trouver un travail dans la vente parce que j’aime ça, parler de choses que j’aime et puis j’ai envie de passé un CAP patisserie mais je doute de mes capacités (peur de l’echec). J’ai fini mes études depuis longtemps mais j’ai envie de lancer mon affaire, aller de l’avant. C’est un grand pas pour moi.
J’y vais à mon rythme doucement mais surement ce que ne comprend pas ma mère et mon frère qui me voit comme une bonne à rien, c’est triste je sais mais je n’ai personne d’autre alors je fais avec.
Mon expérience avec l’école ? moyen ! disons que je me suis fondu dans le moule pendant des années sans que personne ne remarque quoi que ce soit !!! mais ce que je peut dire c’est que les enfants et ado sont tellement méchants entre eux. J’ai vécu le harcélement scolaire devant mes professeurs mais personne ne m’a aider, c’est une honte mais d’après eux je l’ai méritée parce que je suis autiste, parce que j’ai voulu dénoncée ce que je vivais.
Il y a urgence à créer des écoles dédiés aux autistes HPI comme moi pour que plus aucun enfants ne subissent le harcélement scolaire et tout ce qui va avec.
je voudrais dire une dernière chose : ON NE CHOISIT PAS D’ETRE AUTISTE NI HPI, nous naissons comme ça et on doit vivre avec alors vous qui me liser arrêter vos préjugés et ouvrez vos esprits.
Je suis tombée sur ce site car j’ai de grosses difficultés avec mon fils de 13 ans, pour sa scolarité et à la maison. Il a été détecté HPI par la psychologue de l’école et malgré les efforts de cette dame et la direction du collège, il n’y a guère de solution ALORS JE DIS OUI IL EST TEMPS QUE LE SYSTEME SCOLAIRE S’ADAPTE A CES ENFANTS. Sa précocité a été détecté à l’âge de 7 ans parce que je commençais à me poser beaucoup de question et je me sentais complètement démunie face à mon enfant et depuis je cherche toujours une solution, bien longue à venir car il est déjà en quatrième… Merci pour votre témoignage car je suis du côté de la maman qui a bien du mal à comprendre son fils (j’en culpabilise énormément) et grâce à vous j’ai ma petite piqûre de rappel qui me dit “n’oublie pas ton fils aussi en souffre et ne sais pas comment le dire !) Merci encore et n’hésitez pas à me répondre, j’ai sûrement besoin de savoir encore des choses sur ce sujet pour pouvoir être patiente et aider mon fils.
Carine
Merci beaucoup pour votre témoignage, cela me donne le courage d’écrire également. je suis maman d’une ado de 15 ans diagnostiquée tHPI il y a un peu plus d’un an, suite à “refus scolaire anxieux” (nom donné par les medecins à sa phobie scolaire) et à une déscolarisation totale pendant un an – elle menaçait de se tuer si je la remettais à l’école-. Ma fille refusait de me parler et restait enfermée dans sa chambre, nos échanges se terminaient par une crise de larmes ou de spasmophilie aigüe. Elle s’est confiée aux infirmières du CMP où je l’emmenait une fois par semaine, a parlé petit à petit des punitions systématiques et des insultes que sa belle-mère lui infligeait même devant son père (famille recomposée), du harcèlement scolaire durant sa 4eme, un groupe de filles l’insultait chaque jour, s’en suivaient les moqueries des autres, vous avez raison les enfants et surtout ados sont très durs les uns envers les autres, on dirait qu’ils se sentent mieux en “descendant” les autres, d’ailleurs même entre “amis”. Je pense qu’à l’école et particulièrement au collège il est URGENT de développer davantage l’esprit de solidarité, de camaraderie plutôt que celui de compétition, cela permettrait à tous d’avoir sa place, même ceux qui sont différents, et cela est loin d’être le cas !
Bref, pour en revenir à ma fille, il a été très difficile pendant des mois de pouvoir sortir à l’extérieur, une sortie en famille resto ou cinéma relevait de l’opération commando! Il fallait la préparer psychologiquement plusieurs jours auparavant, la motiver, (encore aujourd’hui d’ailleurs) éviter les endroits où il y a trop de monde, je me souviens de repas à la pizzéria où elle a passé le plus clair de son temps aux toilettes, pendant des mois c’est l’endroit où elle s’est réfugiée, même pour un repas dans la famille. Après chaque sortie extérieure stressant pour elle, elle cours se réfugier dans sa chambre où elle a un “rituel” une espèce de “danse” de “chorégraphie” qui la calme et qui l’apaise (c’est presque chaque jour depuis qu’elle a repris les cours le matin). Ça peut paraître rigolo comme ça mais les murs sont noircis aux endroits précis qu’elle touche chaque fois ! Elle a également des “tocs” alimentaires, elle mange toujours la même chose quand on mange au Resto, déteste la nouveauté, trie son assiette de façon très systématique, le moindre ingrédient non “accepté” même minuscule. comme elle est retournée dans un autre collège adapté à son hpi elle doit prendre parfois le train et le bus, quand on ne peux l’emmener, qu’elle horreur pour elle! Elle est angoissée, m’envoie des sms comme si le monde s’écroulait… Chaque jour on doit recommencer de la motiver, je dois même l’aider pour les vêtements à choisir le matin. La motiver pour prendre sa douche… Elle se scarifie également les épaules tellement elle s’enfonce les ongles! Elle est pleine de cicatrices… Tout ces “phénomènes” m’ont amenée à plusieurs reprises à me questionner sur un possible trouble autistique, en tout cas je suis sûre qu’il y a quelque chose sur lequel on n’a pas mis le doigt, j.en ai parlé avec la pédopsy qui m’a dit que m’a fille n’était pas autiste et que c’était dû à son haut degré de douance, que cela justifiait ses énormes angoisses et ses manies. Moi qui l’accompagne chaque jour je crois qu’il y a autre chose, mais c’est difficile de se battre seule! Mon mari n’est pas son père et à du mal à se positionner, ses enfants ont du mal à comprendre cette demi-sœur (la plus jeune) qui soudainement ne partage plus de choses avec eux et s’isole dans sa chambre, quant à son père ça le dépasse et il se contente de la chercher tous les 2-3 semaines pour une séance cinéma ou mac Do depuis qu’elle ne veut plus aller chez lui les week-end!
Voilà à quoi ressemble notre vie depuis un an et demi, et pourtant cela n’a pas toujours été cela, malgré qu’elle a été une gamine à la fois tête en l’air (très) et remuante (aussi très) toujours prête à bondir hors de sa chaise.. Je pense qu’elle a été heureuse pendant toute sa scolarité jusqu’à la fin de 6e, nous partagions bcs de choses, d’acticités, elle avait des amis et faisait du sport, elle est extrêmement douée en dessin et à toujours été reconnue par les autres pour cela… Et puis en 5ème elle a été séparée de sa meilleure amie et quelque chose à décliné jusqu’à son année de 4e qui a été une descente aux enfers ! Aujourd’hui elle remonte tout doucement la pente mais c’est en dents de scie, tout notre équilibre de vie est instable ; c’est difficile de ne pas savoir quoi faire, de se sentir seuls malgré les centaines de gens autour ! Et toujours ces stéréotypes sur les hpi ces regards condescendants ces “pourquoi vous vous plaignez si votre fille est plus intelligente”!
Cela m’a fait du bien en tout cas de pouvoir m’exprimer dans ce message, non en effet personne ne choisit d’être Hpi ou différent dans sa perception des choses, mais une chose est sûre, c’est que plus de bienveillance et d’empathie ne coûtent pas beaucoup et peuvent faire énormément de bien ! j’espère avoir encore longtemps la force d’aider ma fille à devenir devenir une jeune femme épanouie
Merci à tous et toutes pour votre écoute, et à Aspergirl pour son forum
Je ne sais pas où vous en êtes avec votre fille, mais votre description a bcp de ressemblances avec mon fils qui a enfin été diagnostiqué asperger après 18 ans de recherches et toutes sortes d’étiquettes. Les rv dans les CRA sont très longs, nous avons trouvé une psychologue spécialisée dans ce syndrome qui a fait les tests, cela revient environ à 300 euros, cette psy a été très professionnelle et nous sommes fixés. Si votre fille a ce syndrome, vous pourrez mieux cerner ces difficultés et adapter vos attentes. Bon courage.
prenez vite RV auprès du Centre Ressource Autisme de votre région.(http://www.cra-rhone-alpes.org/spip.php?rubrique209
si je ne me trompe?)
Les délais d’attente sont longs, faites un dossier pour éclaircir définitivement ce dont “souffre” Yoann.
une maman dont le fils a un dossier au CRA depuis 8 mois, en attente d’un RV pour un diagnostic (suspicion de TSA).
J ai un garçon de 11 ans et demi, avec un QI harmonieux et ” au max” dans tous les domaines. Il ne se passionne pour rien en particulier il buttine. Seul les jeux vidéo captent vraiment son attention.
L école est un vrai problème, l année de 4eme s achève et c est un festival d appréciations négatives sur son comportement, il refuse de s intégrer de travailler en groupe, fait le contraire de ce qu’ il faudrait pour se faire accepter. Ces difficultés relationnelles je les ai également remarquées dans beaucoup d autre contexte. Je commence à me poser des questions, les choses évoluent plutôt négativement. Sauriez vous me conseiller un pédopsychiatre dans le Loiret ou même sur Paris je voudrai ôter ce doute de ma tête et savoir quoi faire
Je suis la mamie d’un petit garçon de 7 ans qui est autiste asperger, aîné d’une fratrie de trois enfants. Je l’ai gardé pendant ses 3 premières années car aucun système de garde ne semblait lui convenir. J’ai dû adapter ma vie à ses nombreuses exigences, il fallait que je sois à ses côtés tout le temps sinon il paniquait.
Son entrée à l’ecole A été une catastrophe, il était perdu dans ce monde inconnu.
Après CMP, MDPH, mise en place d’une AVS et un changement d’ecole, il est maintenant en CE1. Ses acquisitions sont normales.
Actuellement nous pensons qu’il prend conscience de sa différence et son comportement redevient dur, il a une peur très exacerbée de l’echec Et préfère ne rien tenter de peur de se tromper, il ne supporte pas qu’on l’aide quand il fait quelque chose. Il a eu des périodes très créatives et là il n’ose plus rien entreprendre.
Ses relations avec ses frères est très fluctuante , cela dépend de son humeur et son niveau d’anxiété. Son attitude a bien évidemment des répercussions sur le comportement des 2. Autres enfants
J’ai lu beaucoup de livres sur l’autisme Asperger, mais je n’ai pas trouvé de vrai mode d’emploi pour ce genre de troubles.
Quant aux soutiens des psy, peu de réponses pratiques…
J’ai lu tous vos témoignages et cela fait du bien car on s’en sent moins seuls.
J’ai écrit un livre intitulé « je préfère les trams et les ascenseurs aux enfants de mon âge …et Alors! » signe Nathalie Mabire.
Ce livre raconte la vie de mon petit fils jusqu’à 6 ans.
Peut être ce livre pourra vous aussi vous sentir moins seul!
Je souhaiterais bien partager sur ce sujet avec des parents, enfin sur la difficulté à aider ces enfants diffèrents mais si attachants……
J’ai mon fils de 12 ans (que je soupçonne être “Aspi”) qui a une grande passion pour la plongée sous-marine et plus particulièrement les palmes, à un point qu’il souhaite dormir avec et les porter toute la journée, ou les faire dormir dans son lit quand il n’est pas là.
Il me dit “Mes pieds ne sont heureux qu’avec leurs amies les palmes”
Que dois-je faire ?
Merci.