Il y a des fois où, en faisant mon petit tour quotidien des infos liées au syndrome d’Asperger, je tombe sur des choses drôles, parfois insolites. Ce matin, j’ai surtout failli tomber de ma chaise tant la bêtise & la méchanceté de certaines personnes me sidèrent 
Le site suisse Le Matin.ch nous apprend qu’une professeure américaine, Nicole McVey, voyant l’un de ses élèves de 11 ans (enfant touché par le SA) s’être coincé dans le dossier d’une chaise, n’a pas eu le réflexe attendu par la plupart des gens sains d’esprit ! 
Non ! Cette dame, au lieu d’appeler les secours, a choisi de laisser l’enfant dans sa position, pendant 10 à 15 minutes, en le filmant avec ton téléphone portable & en se moquant de lui, devant la classe 
Que dire ??? si ce n’est que c’est lamentable, & indéfendable de façon générale ! Mais plus encore venant d’un adulte censé protéger ses élèves des dangers, des agressions, des maltraitances 
Le buste coincé dans sa chaise, un écolier de onze ans a été moqué par sa maîtresse. Les « pro-Nicole McVey » et les « anti » balancent leurs arguments sur la Toile.
Bien sûr, l’enfant s’était mis tout seul dans cette position inconfortable. Pour autant, fallait-il le laisser dix à quinze minutes dans cette fâcheuse posture, en lui proposant – même sur le ton de la plaisanterie – de le dégager au « taser » ?
Était-il concevable de le filmer en train de se débattre pour se sortir du piège dans lequel il s’était mis?Depuis quelques jours, outre-Atlantique, la Toile s’enflamme autour de ce cas d’école. Âgé de onze ans, le jeune autiste, élève de l’Oaktree Elementary School à Goodrich, dans le Michigan, est atteint du syndrome d’Asperger. Devant l’ampleur prise par cette affaire, ses parents, désireux de protéger sa vie privée, ont engagé un avocat. Pour celui-ci, Me Patrick Greenfelder, la maîtresse a clairement fauté. Certes l’enfant n’était pas en situation de danger immédiat, mais le laisser ainsi et le filmer dans cette situation humiliante n’était pas acceptable.
Des parents la défendent
POUR lire l’ARTICLE en INTÉGRALITÉ 
c’est ici !
J’ai grandi en France au contact d’américains et j’ai vécu aux US.
Il me semble au ton de sa voix qu’elle est juste c****. Je pourrais croire qu’effectivement elle voulait dédramatiser la situation (pourquoi? Il y avait un drame?) si elle n’avait pas en plus filmé la scène et ses commentaires.
Je voudrais aussi savoir comment cette vidéo a pu être accessible. Est-ce qu’en plus elle l’a posté quelque part?
Là je n’aurais plus aucun doute sur sa méchanceté.
Le coup de “oh mais je ne pensais pas à mal” est juste passé de mode depuis qu’elle a quitté le lycée et elle devrait le savoir.
Pour en revenir à son excuse de “dédramatisation” je pense qu’une instit’ avec deux sous de jugeotte s’en serait bien mieux sorti qu’elle (en commençant par ne pas filmer pour ne pas attirer l’attention des élèves sur ce qui se passe). Donc ne fait elle n’est peut être pas méchante cette femme, juste tellement bête qu’il faut absolument l’empêcher d’être en relation avec des enfants de manière continue.
Faut pas juger avec nos références françaises.
Faudrait demander à un américain de commenter le ton.
Pour le reste, je ne cautionne pas…
Aider l’enfant à sortir de là puis en rire avec lui, ça, c’est dédramatiser. Là, c’est juste de la cruauté! Je crois que la bêtise et l’égocentrisme des parents (“Elle est très bien avec mon enfant, je m’en fous si elle torture celui des autres”) me rend encore plus malade que l’attitude de la prof…
ces personnes sont censés être sensibilisés au notions de pédagogie et être proches des enfant ….
tristesse … elle mérite clairement un blâme et un licenciement; cette personne n’a pas sa place dans l’éducation.
Quel est l’intérêt de laisser un gamin (quel qu’il soit) coincé de la sorte ? Et plus encore, celui de filmer ?
C’est déjà difficile à l’école lorsque l’on n’a pas tous les codes sociaux mais alors là pour l’intégration avec ce type de comportement on repassera
Je suis également très choquée par l’ “argument” tentative de dédramatisation concernant l’usage fort drôle, j’en conviens, d’un taser… quelque soit la différence de prosodie…